Aux Sangliers d'Arbonne

mardi, juin 30, 2009

Demat, Penaos a ya an traoù ?

Attention Sangliers, le 10 Juillet 2009 direction ...

Kenavo ?!

2fd953e934f1ff6d9962644bca37581e.jpgUr vandenn dreset a zo bet embannet barzh Ouest-France disul 16/06/2009, pajenn 15; anvet eo "Les Bretons". Setu an istor : ur sort Robinson Krusoe a zo kollet war un enezenn vihan abaoe c'hwec'h miz, e unan, e tebriñ pesked hag e lenn ur gazetenn (saovet ag ar pense ?), Ouest-France, evel rezon. Lenn a ra un dra souezhus warni : "Le fest-noz : une fête traditionnelle que les Bretons ne rateraient à aucun prix". Eurêka, eme ar paotr. Get gwad ur pesk hag ar gazetenn, sevel a ra ur skritel a lâr :"Ce soir grand fest-noz dans l'île". Ha setu ur bochad Bretoned e toned war bagoù e c'houlenn "C'est à quelle heure ?" ha "C'est quel bagad ?"... Saovet ar paotr, met pas ar brezhoneg kar Bretoned all a lâr "kenavo" d'ar paotr, e tegouezhañ... Kenavo ? Ar ger-se a dalv "au revoir", "goodbye", "hasta luego". Ne vez ket lâret "kenavo" e erruiñ met e vonet kuit... "Demat" ("bonjour") 'vez lâret pe "Penaos a ya an traoù ?" ("comment vont les choses ?"), hag all.

Domaj eo, hag alies awalc'h e vez gwelet farioù evel-se graet get tud ne ouiont ket na skrivañ, na gomz, na lenn brezhoneg, met a ra geti memestra. Gwelloc'h vehe dezhe gwiriekaat, memestra, ar pezh a dalv "vérifier" e galleg.

Kenavo !

Bin oui quoi les gars, Il va falloir vous y mettre au breton ! Allez, une tournée de Chouchen au 1er qui me fait la traduction du texte ci-dessus en Français ... Y en a un, au moins, qui a compris ce que cela voulais dire ?

Et alors on va où ? ...

En Cornouaille très exactement à Brénnilis, sur le site de Youdig (merde, je viens de voir qu'il y a une centrale nucléaire. J'ai horreur de ces Tchernobyls en puissance, de nuit pas besoin d'éclairage, on est à 1km de la centrale :-/)


Agrandir le plan

Ce petit village à l'ouest de Carhaix-Plouguer (village étape du Paris-Brest-Paris)

Fichier:Bretagne-pays.png

L'étape Carhaix-Plouguer - Brest du Paris-Brest-Paris de 2007

Juste pour vous dire que contrairement à la rumeur la Bretagne c'est pas plat

Et là bas, on parle comment ?

Le breton cornouaillais n'est pas plus facile à définir que les trois autres grands dialectes du breton (trégorrois, vannetais, léonard). Au contraire, c'est un dialecte qui se définit complémentairement aux trois autres.

D'une part la Cornouaille est le plus étendu et le plus peuplé des anciens évéchés de Basse-Bretagne : cela rend plus difficile de définir une langue de Cornouaille, comme on a pu le faire pour le Léon. Cependant le parler cornouaillais varie de commune à commune à peu près dans les mêmes proportions que ses trois voisins. Le seul parler avec lequel la limite est vraiment sensible est le Vannetais. À l'opposé, séparer cornouaillais et trégorrois est très arbitraire : la zone des monts d'Arrée où se situerait la limite est au contraire relativement homogène.

Plus d'infos sur le Wiki : Breton Cornouaillais

Le Site de YOUDIG

le site de YOUDIG, là où nous serons ...

A quoi ressemble le site :

1) d'abord le miam miam, oui après la rando dans ce coin, la bouffe s'impose, alors ? Que Yéti et les autres se rassurent, vu le profil du Klaod, je dirais que c'est de la bonne cuisine de terroir, le référencement aux sites du Gault et Millaut, Guide du routard et Guide Gallimard pourrait être un atout pour les âmes sensibles du légume ! Bref, je dirais que miam se présente bien, en plus, les gars du coins ne sucent pas que de la glace, ce qui va nous protéger de la terrible déshydratation, dangereuse en cette saison ... (important çà !)

Il m'a l'air tout à fait sympa ce restau

Le petit plus du site : Des soirées contes se déroulent sous forme de scènes ouvertes et s’adressent à tous les passionnés de tradition orale, dans un esprit passeurs de mémoire.

Alors, la question que tout le monde se pose ! (et qui taraude l'esprit du président :)

Si je dors avec le Yéti, sera-t-il vraiment si près ? ... Bin (:-/) peut-être bien que oui ! ... Mais là, je dis que c'est pas sûr, tout dépend de la conviction avec laquelle vous allez faire adopter le vote à bulletin secret.

Les chambres ont l'air pas mal, où est la Thalasso, le Hammam ?

"Yéti tu dors où ?"... "Au milieu, je dors au miieux !"

Et pour le reste ...

La Bretagne est un bien beau pays, vous allez le découvrir ou le redécouvrir ... Même quand il pleut, rien de tel qu'une bonne galette saucisse, sur un marché un jour de grand vent bruineux, histoire de se la saler aux embruns, à recouvrir d' une bonne rasade de cidre brut, du bon, qui te casse le bide et te noircit la bolée.

Envoûtante, sauvage,authentique, naturelle, la Bretagne vibre sous la lumière et habille de couleurs les grands espaces.

Cette Bretagne, c'est la magie du bleu, d'une frange littorale en dentelle avec alternances de côtes rocheuses, de plages et de criques.

Cette Bretagne, c'est la magie du vert et de l'or, celle des Monts d'Arrée, des Montagnes Noires, qui offrent une multitude d'espaces préservés.


D'une superficie d'environ 3000ha, 450 habitants, BRENNILIS se situe au pied du Mont Saint-Michel et des marais du Yeun Elez : " Les portes de l'enfer " où fantastique et surnaturel se côtoient.

Le lac Saint-Michel s'étend sur 500 ha, alimenté par quelques ruisseaux dont le Roudouhir. Trois autres communes en sont également riveraines : BOTMEUR, BRASPARTS et LOQUEFFRET. Le lac Saint-Michel est un lac artificiel : un barrage est construit sur l'Elez à la fin des années trente afin de constituer une importante réserve d'eau nécessaire au fonctionnement de l'usine hydro-électrique de St-Herbot situé en aval.

Quelques sites remarquables sont à découvrir sur la commune :

  • L'Eglise classée du Xvème siècle.
  • Le site archéologique " Ti Ar Boudiged ", dolmen mégalithique.
  • La réserve naturelle du vénec.
  • Le camping municipal installé au bord du lac saint Michel.

Photo : Hervé Quéré, Saint-Rivoal

Pourquoi ce nom " YEUN ELEZ " ?

Selon la légende, le " Yeun Elez " est une vaste tourbière, occupant une gigantesque cuvette au cœur des Monts d'Arrée. Le centre de cette cuvette était naguère rempli par une bourbe mouvante appellée le " Youdic " (Petite Bouillie). C'est là que la tradition bretonne situait la porte de l'enfer.
On disait que, pour se débarrasser d'un revenant, il fallait avoir recours à un exorciste qui le transformait en chien noir et le faisait conduire de presbytère en presbytère, jusqu'à un prêtre d'une paroisse de l'Arrée. Le saint homme emmenait l'animal au bord du Youdic, lui passait prestement son étole autour du cou et le précipitait dans le marais.
Les villages verdoyants du Yeun Elez se trouvent situés à 30mn de Brest, Quimper et Morlaix, endroits idéaux pour rayonner de la côte Nord à la côte Sud.

Pourquoi venir dans les Monts d'Arrée ? Parce qu'il existe une Autre Bretagne ! ! !

Terre de mégalithes (menhir, dolmen), les Monts d'Arrée sont les plus élevés des " Montagnes bretonnes ", là où les tourbières, les landes et les nombreux rochers reprennent le dessus.

Terre chaleureuse et authentique, ses paysages grandioses et insolites font le bonheur de tous les randonneurs (GR 380, nombreux PR...).

Terre d'accueil et de légendes, son dépaysement vous séduira et nous vous invitons à découvrir, à votre rythme, tous ses mystères.



Les Druides antiques

Les Druides comprenaient trois catégories :

Les Bardes, poètes et musiciens.

Les Ovates ou Vates qui pratiquent la divination, la médecine.

Les Druides, qui étaient les théologiens, les enseignant et les juges.

Les Druides n'utilisaient pas l'écriture, l'enseignement se faisait uniquement par oral. Il ne nous reste donc pas de traces directes hormis les textes antiques romains, grecs ...

Selon Strabon : "Chez tous en général il y a trois castes à qui l'on rend des honneurs extraordinaires: les bardes, les vates et les druides; les bardes sont chantres d'hymnes et poètes, les vates, sacrificateurs et interprètes de la nature; les druides, outre la science de la nature, étudient aussi la philosophie morale. On a la plus haute opinion de leur justice: à ce titre on s'en remet à eux du jugement de tous litiges privés ou publics; c'est à ce point qu'autrefois ils étaient arbitres même dans les guerres, arrêtaient les adversaires prêts à se ranger en bataille, et qu'on leur confiait le soin de prononcer dans les affaires de meurtre.."

Selon Jules César: "Le point essentiel de leur doctrine c'est l'immortalité de l'âme. Ils enseignent qu'après la mort elle passe dans d'autres corps. Cette conviction, d'après eux, excite particulièrement au courage, en faisant mépriser la peur de la mort. En outre, ils discutent beaucoup sur les astres, leurs mouvements, la grandeur du monde et celle de la terre, sur la nature des choses, la puissance et le rôle des dieux immortels et ils transmettent ces doctrines à leurs jeunes élèves."

Selon Pline : "Il ne faut pas oublier non plus à ce propos l'admiration des Gaulois [pour le gui]. Les druides, - c'est le nom qu'ils donnent à leurs mages - n'ont rien de plus sacré que le gui et l'arbre qui le porte, pourvu que ce soit un rouvre. Le rouvre est déjà par lui-même l'arbre qu'ils choisissent pour les bois sacrés, et n'ils n'accomplissent aucune cérémonie religieuse sans son feuillage, au point que l'étymologie de leur nom de druides pourrait passer pour grecque. C'est un fait qu'ils regardent tout ce qui pousse sur ces arbres comme envoyé du ciel, et y voient un signe de l'élection de l'arbre par le dieu lui-même. On trouve très rarement du gui [de rouvre] et, quand on en a découvert, on le cueille en grande pompe religieuse ; ce doit être avant tout au sixième jour de la lune, qui marque chez eux le début des mois, des années et des siècles, qui durent trente ans, jour choisi parce que la lune est déjà dans toute sa force sans être à mi-cours. Ils l'appellent dans leur langue " celui qui guérit tout ". Ils préparent selon les rites au pied de l'arbre un sacrifice et un festin religieux et amènent deux taureaux blancs dont les cornes sont liées alors pour la première fois. Un prêtre, vêtu de blanc, monte dans l'arbre, coupe le gui avec une serpe d'or et le reçoit sur un sayon blanc. Ils immolent ensuite les victimes en priant le dieu de rendre son présent propice à ceux auxquels il l'a accordé. Ils croient que le gui, pris en boisson, donne la féminité à tout animal stérile, qu'il est un remède contre tous les poisons. Tant les peuples mettent d'ordinaire de religion dans des objets frivoles !"


En Gaule, ce sont les bardes, qui récitent ou chante la poésie et la littérature et les louanges. En Irlande, ce sont les filid .

Il fut le Druide le moins pourchassé puisque son art était facilement assimilé à l'art tout court : ses mots fut figée dans les vers des troubadours et des trouvères.

Selon Strabon : "les bardes sont chantres d'hymnes et poètes."

Selon Timagène d'Alexandrie : "... ils bâtirent des villes en grand nombre; mais il faut se garder d'une variété [d'opinions] qui souvent s'accompagne de la satiété. - En ces lieux, les hommes, se civilisant peu à peu, mirent en honneur l'étude des louables sciences ébauchées déjà par les bardes, les euhages et les druides. Ces bardes chantèrent les hauts faits des hommes illustres, en vers héroïques accompagnés des doux accords de la lyre;"

Selon Posidonios d'Apamée ou de Rhodes : "Les Celtes emmènent avec eux, même à la guerre, de ces commensaux qu'on appelle parasites. Ces parasites célèbrent les louanges de leurs patrons et devant des assemblées nombreuses et mêmes devant quiconque veut bien en particulier leur prêter l'oreille. Ces personnages qui se font entendre ainsi sont ceux qu'on appelle Bardes: ce sont aussi les poètes qui dans leurs chants prononcent ces éloges.."

Selon Martial : "Le poète invite aux douceurs de la vie champêtre Licinianus partant pour l'Espagne.Vous, dont les peuples de la Celtibèrie ne tairont pas le nom, vous, l'honneur de notre Espagne, vous verrez donc, Licinianus, la haute Bilbilis célèbre par ses eaux et par ses armes, le vieux Caunus couvert de
neige, le sacré Vadavéron isolé au milieu des autres montagnes, les délicieux bosquets de la charmante Botrode, aimée de l'heureuse Pomone. Vous nagerez dans les eaux tièdes et lentes du Congedus, et dans les lacs, paisibles demeures des Nymphes; puis vous viendrez rafraîchir votre corps fatigué dans le lit peu profond du Salon, dans les eaux qui donnent au fer une trempe si solide.
."


LES OGHAMS

Connue aussi sous le nom d'écriture d'Oghm, d'Oghaim ou d'Ogam, créé selon la légende par OGMA (le Dieu OGMIOS gaulois), dieu de la connaissance, ils représentaient l'écriture sacrée des druides.

Il y a 5 groupes d'Oghams (Nous dirons plutôt 4 groupe plus un complémentaire). Chaque groupe ayant 5 lettres. Selon Mc Manus ("A guide to Ogam") leur orientation est : à droite de la tige, à gauche de la tige, à travers la tige, par la tige, autour de la tige, Ogham monte alors que l'arbre croît.

En effet chacune des lettres correspond à un arbre, un principe symbolique, un moment du cycle de l'année.

Cet alphabet est apparu très tardivement et son usage est limité à quelques inscriptions retrouvées sur des pierres mègalithiques. Les anciens druides réservaient les écrits au profane, et utilisaient le grec. Les oghams garantissaient le secret des choses sacrées; Ils étaientr instrument de l'art divinatoire, plus qu'un simple moyen d'écriture.

BETH : Le Bouleau - Novembre (Premier mois de l'année celtique)

Symbolique d'un nouveau début, élever.

LUIS : Le Sorbier - Décembre

Protection contre l'enchantement, arbre de la vie. Selon la légende, manger les fruits d'un certain sorbier guerissait et allongeait la vie d'un an par baie, mais un dragon redoutable le protégeait.

FEARN : L'Aulne - Janvier

Protection spirituelle. Merlin fit pousser des ifs du tronc des aulnes, ce qui signifiait que de la royauté terrestre pouvait émaner la souveraineté spirituelle.

SAILLE : Le Saule - Février

Symbole de la nuit et des rythmes lunaires.

NION : Le Frêne - Mars
Symbole de la renaissance et de la fécondité de la mer. Les moines chrétiens marquèrent leur victoire sur le duidisme en brulant les frênes sacrés des villages Irlandais et Bretons. Cependant les fortes racines étouffaient celles des autres arbres, prophétie du renouveau du druidisme.

UATH : Aubépine - Avril

Symbolique de la pureyé impénétrable, amenant au festival du feu de Beltaine.

DUIR : Le Chêne - Mai

Symbole de la fertilité du printemps, protection et force. Le Câd Goddeu ("Combat des Arbres" Texte écrit selon la légende par Taliesin). affirme que le chêne désenchevétré s'étalera sur un nouveau druidisme.

TINNE : Le Houx - Juin

Equilibre, le bois de houx était employé pour créer des axes de lances, fort dans le combat et dans les arguments. Dans les mythes Gallois deux chevaliers, celui du Chêne et celui du Houx se combattaient chaque 1ér Mai.

COLL : Le Noisetier - Juillet

Intuition et poésie, méditation, sagesse et divination. Le noisetier était associé au puits et à l'enseignement caché, il servait aussi à confectionner les baguettes de sourcier.

QUERT : Le Pommier
Symbole du choix et de la beauté, il nourrissait les poêtes.

MUIN : La Vigne - Août

Prophétie et honnêteté, symbole de la spiritualité et de l'éternité dans les oeuvres de la matière et de l'esprit.

GORT : Le Lierre - Septembre

Symbole du labyrinthe, de la recherche de l'individu et de l'errance de l'âme. Le lierre provoquait des révélations mystiques lorsque l'on mâchait ses feuilles.

NGETAL : Le Roseau - Octobre

Capacité des armes spirituelles, symbole de la victoire dans le chaos.

STRAIF : Le Prunellier

Puissance du destin et des influences extérieures. Symbole de la force dans l'adversité.

RUIS : Le Sureau - Novembre
Symbole du cycle de la vie, mort, fin, et renaissance. Arbre de mauvaise réputation car les sorcieres s'en servaient comme monture.

AILM : L'épicéa - Décembre

Vision claire du futur

ONN : L'Ajonc

Chemins menants tous à un but, lié au dieu Lug. Ses fleurs jaunes dégagent une odeur de miel et riches en nectar attirent les abeilles et chassaient les sorcières.

UR : La Bruyère

Plante de la passion, associée à la montagne, aux abeilles et à l'été.

EADHA : Le Peuplier

Symbole de la parole protectrice et de la vieillesse.

IOHO : L'If
Abre funéraire illustrant l'éternité et la continuité des cycles de la vie, reliant mort et renaissance.

KOAD : Plantation

Endroit sacré contenant toute la connaissance.

OIR : Représentation du tonnerre et de la foudre

Symbole des tâches difficiles et de ce qui est honnêtement gagné.

UILLEANN : Le Chèvrefeuille

Permet de trouver le vrai du faux. Le chevrefeuille était l'arbre des oracles.

PHAGOS : Le Hêtre

Symbolise le livre, de l'histoire et l'écriture.

MOR : La Mer
Symbole de Manannan, Dieu celte de la mer et de la connaissance cachée.


LA GEOBIOLOGIE

La géobiologie (Géo-Bio-Logie : Étude de l'influence de la terre sur tout ce qui vit) étudie notre environnement, l’équilibre des énergies cosmiques et telluriques, les pollutions électromagnétiques, les matériaux de construction …

Les anciens ne construisaient pas leur maison n’importe où et n’importe comment !
Nous avons oublié ces règles bien souvent rangées dans la catégorie des légendes ou de la superstition par les scientifiques. En effet, des baguettes de sourcier comme instrument de mesure, ça ne fait pas sérieux !

Depuis plus de cinquante ans pourtant, des physiciens, docteurs et radiesthésistes ont mis en évidence une certaine influence du sol ou d'un lieu sur la croissance ou le comportement d'une plante, d'un arbre, d'un animal ou de l'homme.

Nous recherchons les zones pathogènes plus principalement dans les pièces de repos, chambre à coucher, salon ….

C’est en effet pendant notre sommeil que notre corps se régénère. S’il est soumis à des agressions externes durant cette période, il va devoir « gaspiller » son énergie à se défendre. Les premiers signes seront des troubles du sommeil, des douleurs localisées, des enfants agités, maux de tête ....


Energies telluriques

Les réseaux :

Réseau de Hartmann, appelé aussi réseau global et découvert au début des années 50 par le Dr Ernst Hartmann.

Il s’agit d’un quadrillage d’origine tellurique, orienté Nord/Sud (espacement de 2 mètres) et Est/Ouest (espacement de 2,5 mètres). Chaque bande mesure environ 21 centimètres d’épaisseur. Ce sont les croisements de ces « murs » (appelés nœuds H) qui sont des zones pathogènes.

Réseau Curry ou diagonal, découvert en 1952 par le Dr Curry.

Il est constitué lui aussi d’un maillage d’origine tellurique, mais orienté Nord/Est, Sud/Ouest. Ses « murs » ont une épaisseur de 40 centimètres. Les mailles sont variables selon les régions, de 3 à 16 mètres.

Les croisements du réseau diagonal sont aussi à éviter pour les zones de repos.

Les autres réseaux :

Le réseau "ROMANI", découvert par le physicien Lucien ROMANI, et dont l'activité est négligeable.

Le réseau "PEYRÉ", découvert en 1937 par le Dr PEYRÉ. dont l'activité moins bien établie ne doit pas être négligée.

Réseau "WISSMANN"
Appelé aussi 2ème réseau diagonal à faible activité.

Les failles géologiques, grottes, cavités :

Ce sont des fractures, glissements ou fissures de la croûte terrestre provoquant un phénomène tellurique.
Leur influence est importante et si elles se trouvent à l'aplomb du croisement d'un reseau, l'effet de celui-ci va s'en trouver amplifier.

A noter que les failles peuvent être sèches ou humides. Dans le deuxième cas "l'effet eau" sera lui aussi à prendre en compte.

Courants d’eau et rivières souterraines :

La circulation d’un courant d’eau génère, à son aplomb et à une distance égale à sa profondeur, une zone d’influence. Ce sont dans de telles zones que l’on verra des arbres pousser penchés pour s’en écarter.

Tout comme pour la faille, un croisement de réseau sera amplifié à l'aplomb de l'eau.

La Cheminée CosmoTellurique :

Phénomène de « colonne » verticale émanant de la terre dont le diamètre est très variables, découvert en 1983 par M. Guy TISON.
On dit d'une Cheminée CosmoTellurique qu'elle respire par 3 mouvements détectables au pendule : Mouvement ascendant puis un temps de repos ou neutre puis mouvement descendant etc
Une Cheminée CosmoTellurique de basse vibration affaiblit l'organisme humain alors qu'une Cheminée CosmoTellurique de haute vibration le recharge.

Energies cosmiques
Les nuisances électromagnétiques :

Elles sont provoquées par des appareils ménagers émettant des champs électriques et magnétiques.

Les micro-ondes :

Téléphones portables, antennes relais et Wi-fi …..

« Avec la banalisation des téléphones portables, les micro-ondes sont passées du four de la cuisine à notre oreille. Les téléphones portables et les antennes relais inondent désormais notre environnement alors même que leur « toxicité » ne cesse d'être prouvée étude après étude. Le plus grand danger provient sans doute des basses ondes émises par ces appareils, les ELF (Extremly Low Frequencies), reconnues dangereuses par l'OMS depuis 1998. Mais le pire est à venir : La nouvelle technologie wi-fi diffuse, elle, les mêmes fréquences que celles du four... en pleine rue ! » François LEHN (pratiques de santé n°15)

A lire :
"Votre MAISON est-elle nocive" de Thierry GAUTIER
"Les Réseaux Géobiologiques" de Gilbert FLECK
"La médecine de l'habitat" de Jacques LA MAYA
"La Science & Les Sourciers" de Yves ROCARD
"La Bio-construction" de Jean-Marie-Pierre LE CHAPELLIER

L'archéologie

L’archéologie ne s’est pas toujours comportée en allié loyal de la spiritualité éclairée. Depuis ses balbutiements au 18ème siècle, elle véhiculait jadis une image déformée de nos ancêtres éloignés et plus proches. Pour bien des monuments, les fouilles ont été une vraie catastrophe. Plus “chasse au trésor” que quête de connaissance, elles démolissaient tout sur leur passage, et ceci sans même laisser d’écrits sur les observations faites, quand il y en a eu.

Sous l’influence des textes bibliques, pour partie du moins, l’échelle de temps s’est vu raccourcir dans des proportions considérables. Une préhistoire remontant 10.000, 100.000, voire 1.000.000 ans, était chose impensable. Les mégalithes, rajeunis de quelque 4000 ans, étaient censés être des temples des Druides, à qui, largement sur la foi des écrits de l’ennemi romain, on imputait des mœurs sauvages, exécrables. C’était des lieux diaboliques, maculés du sang des sacrifiés, dont il s’agissait souvent de faire disparaître les traces, faute de pouvoir les christianiser.

Cependant, malgré l’obscurantisme qui étrangement prévalait encore en la matière en plein Siècle des Lumières, quelques indices ont laissé présager des rapports mutuellement bénéfiques qu’auraient un jour l’archéologie et la spiritualité. En Angleterre, John Aubrey s’intéressa le premier en tant qu’archéologue, aux monuments hors pair que sont Stonehenge et Avebury. Et il avait, comme ami proche, William Stukeley, second Chef choisi du premier groupement issu de la renaissance du druidisme, à savoir le Most Ancient Order of Druids, fondé peu avant par John Toland.

Il a fallu attendre pratiquement le 20ème siècle pour que l’archéologie adopte des méthodes véritablement scientifiques mettant en œuvre l’observation et l’analyse rigoureuses, s’aidant progressivement des technologies émergentes. Concernant la datation, par exemple, à celle reposant sur la seule typologie des artéfacts et des constructions est venue s’ajouter la technique de datation au carbone 14. Mais cette science restait encore trop souvent empreinte d’une pensée réductrice. Elle se limitait généralement aux questions de “quoi ?”, de “quand ?”, et éventuellement de “par qui ?”. Elle a tout de même, chose cruciale, permis d’élaborer un cadre chronologique réaliste pour la préhistoire, dont on avait fini par s’apercevoir de toute l’étendue.

Des dimensions essentielles manquaient néanmoins à cette vision du passé de l’humanité : aussi d’autres problématiques ont-ils vu le jour. Ayant, au préalable, abordé la question de “comment ?”, le nouvel archéologue se met depuis peu à s’interroger sur le “pourquoi ?”. Voilà, enfin’ la question clef, celle qui ouvre toutes les portes (à condition, bien sûr, d’oser les pousser !)—car celui qui se la pose, tout scientifique moderne qu’il soit, accepte de se glisser dans la peau (et sous les peausseries) de ses prédécesseurs, et ce faisant, efface l’abîme qui semblait le séparer d’eux, rétablit le respect, et retourne l’homme dit “primitif” au statut d’être pensant à part entière, confronté aux mêmes interrogations métaphysiques que nous, et qui les abordait avec autant de bon sens et de perspicacité que nous, et sans doute moins de partis pris.

Ainsi, les temps ont changé. Un vent nouveau souffle sur nos sociétés occidentales post-modernes. L’archéologie, en modifiant son optique, fournit à ceux toujours plus nombreux qui, tel le Druide d’aujourd’hui, recherchent dans leurs racines des repères essentiels pour une spiritualité débarrassée de dogmatisme et fermement ancrée dans la nature, les éléments concrets qui leur manquaient. Sur un chantier de fouilles, l’archéologue néo-païen a la chance de vivre une expérience unique. Travaillant plongé dans un état méditatif perpétuel, il est en symbiose, touchant son héritage, qu’il reçoit des anciens en partage, à la fois des mains, de l’esprit, et de l’âme.



Expériences d'autres groupes
A voir, l'ardoisière à Roc'h an Hadeon ainsi qu'une carrière à Menez Kador à la recherche de plantes carnivores. Nous avons seulement trouvés des feuilles déssechées de drosera. Nous avons ensuite bougé vers la chapelle Saint-Michel de Brasparts où nous avons apprécié notre sandwich depuis le panorama sur le réservoir de Brennilis. Après manger, nous avons fait un saut au dolmen de Brennilis appellé aussi "Maison des fées".

Une bonne partie de l'après-midi a été réservée à la recherche de traces de castors le long d'un ruisseau. Quelques barrages ont été découverts ainsi qu'une ou deux loges et de nombreux troncs d'arbres rongés.
Cette recherche s'est faite non sans mal, la progression dans ces marais étant rendues difficiles par les nombreux bras du ruisseau principal obligeant à de nombreux détours ! Plusieurs personnes ont terminé le pantalon et les chaussures dans l'eau (un portable a même eu envie de se prendre un bain) ! Nous avons terminé notre après-midi par un petit tour sur la presqu'île de Saint-Laurent où nous avions une vue sur l'ancienne centrale électrique de Brennilis. Il était temps de rejoindre le gîte communal de Botmeur où nous avons pu reprendre des forces et profiter d'une nuit bien méritée.
La journée du dimanche était réservée à Huelgoat.

Après "la grotte du diable", nous avons continué à descendre le vallon. Nous sommes remontés en direction du "camp d'Arthus" non sans nous arrêter pique-niquer depuis un rocher offrant un joli panorama. La fin de la boucle à Huelgoat s'est terminée à "la roche tremblante" et par "le champignon".

Sur la route du retour, nous nous sommes arrêtés près de Roc'h Trévezel pour prendre des forces avant de rentrer sur Brest.

Les Moins ...

Le site Nucléaire de Brennilis, Çà vaut son pesant de cacahouètes ...

A partir de 1962, le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) construit un réacteur nucléaire expérimental, modéré à l'eau lourde et refroidi au gaz carbonique (filière HWGCR), d'une puissance de 70 MW. En 1967, il est mis en service et la production d'électricité démarre.

En 1971, les choix gouvernementaux portant sur la filière à eau pressurisée mettent fin au caractère expérimental du réacteur de la centrale de Brennilis.

Le 15 août 1975, deux explosions endommagent la prise d'eau d'une turbine et détruisent un poste téléphonique. De nombreuses vitres sont également brisées. Attentat revendiqué par le FLB-ARB.

En 1979, ce sont deux pylônes électriques à l'entrée de la centrale qui sont détruits par le FLB-ARB. L'électricité ne pouvant plus être évacuée, la centrale doit s'arrêter. C'est la première fois qu'un groupe terroriste réussit à perturber le fonctionnement d'une centrale nucléaire.

En 1985, le réacteur est arrêté définitivement.

Entre 1967 et 1985, la centrale est exploitée conjointement par EDF et le CEA, elle produit 6,235 TWh 106 000 heures de fonctionnement (soit environ 12 ans).

Selon un rapport de la Cour des Comptes, le coût du démantèlement de la centrale de Brennilis est actuellement évalué à 482 millions d'euros, soit 20 fois plus que l'estimation de la commission PEON qui est à l'origine du parc nucléaire actuel[1].

Plus d'infos sur ce site,

Une chose est sur, je ne prendrais pas d'eau du robinet là bas ...

"Vivement Lundi ..." Un film de Brigitte Chevet 52 mn / 2008

Brennilis, petit réacteur expérimental des Monts d’Arrée dans le Finistère, doit être la première centrale entièrement déconstruite en France. Le chantier, qu’Edf a un temps présenté comme exemplaire pour tout le parc français, est aujourd’hui à l’arrêt complet. Vitrine du démantèlement ou symbole des difficultés du post-nucléaire ?

Pour comprendre ce qui se joue à Brennilis, Brigitte Chevet a suivi ce chantier de déconstruction de 2004 à 2008. Elle a enquêté sur ce réacteur, qui a fonctionné sans faire de vague pendant plus de vingt ans, mais a laissé des pollutions inexpliquées dans son environnement immédiat et dans la nappe phréatique, sans que les habitants en soient informés.

En retraçant l’histoire du réacteur EL4 et en collectant les paroles des pro et anti-nucléaires, ce film pose le problème du devenir de nos centrales, une fois qu’elles ont arrêté de fonctionner.


Les autres choses à voir





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