Aux Sangliers d'Arbonne

lundi, août 28, 2006

13 Sangliers et 4 chutes le 27 Aout 2006

C'est pas pour dire mais ce matin j'ai un peu la tête dans le paté, peut-être la sortie sur Paris d'hier soir ... Mais l'envie de retrouver notre chère fôret est la plus forte et je retrouve avec plaisir 12 sangliers au cabinet, direction Arbonne et pour l'occasion c'est un Jean Claude en grande forme qui prend les commandes du navire, un échauffement hors pair, puis un rythme bon enfant prend le pas et chacun de raconter ses aventures de l'été, tellement préoccupé par sa discution, jean claude ne voit même pas les centaines de champignons qui poussent à même le chemin !
Après la côte de Cevise, nous passons sur le plateau du Rocher de Milly à la recherche du chemin vers le train d'atterrissage que Jean claude aimerait bien faire découvrir à Martial ! Bon cela jardinne sec sur ce plateau où le chemin est en voie de disparition.
Je suis le premier à faire les frais de la fatigue de fin de parcours, sur une petite marche qui me paraissait bien sympathique, mon VTT reste immobilisé en équilibre sur la roue avant, puis me propulse violemment au sol. Le second à tâter le sol de près est christian G, le pauvre est éjecter par l'avant de son bon Scott à la faveur d'une méchante racine ! Aie ... C'est ok Christian ? Le bruit est si violent que Yeti, alors en avance sur le groupe fait un retour en arrière : C'est quoi ce bruit, c'est toi ?!?".Le suivant, c'est Bernard, plus discret !
Le sprint arrive au retour sur la route d'Arbonne, Charly qui n'a pas vu le retour fracassant de Francois se prend une bonne boite sur le bitume ... Aie plus de peur que de mal, enfin c'est douloureux les brulures indiennes !
Cet incident a quelque peu perturbé le sprint qui ne sera pas hologué pour le coups !
Dommage pour les vainqueurs ;-)

Bonne semaine à tous
Philou

mardi, août 22, 2006

Sortie du 30 Juillet 2006

Dicton du jour : Mieux vaut un vice-Président alcoolique qu’un Président sobre.

L’assistance du jour se monte à 7 sangliers. Pas mal pour un dernier week-end de juillet.
Que des costauds qui ont envie d’une vraie sortie sportive : Edouard, Christian G, José, Bernard, Laurent, Jean-Claude et votre serviteur.
A 09H15 le président pourtant attendu par sa famille proche ne se manifeste pas. Bien sûr les rumeurs les plus folles commencent à courir. Surtout des inquiétudes, pas une seule des habituelles vannes pesantes n’est relevée … nonnon.
Dans l’urgence, Jean-Claude est adoubé vide-Président, il ceint l’écharpe représentative de sa fonction et décide, à notre grande surprise, de nous diriger vers Arbonne.

Faute de disposer de sa limousine habituelle parfaitement entretenue et de son conducteur zélé, il décline toutes les autres invitations pour, sans doute ébloui par le faste de l’automobile, faire route dans la BM de Bernard.

Erreur !
Mais qu’est-ce qui t’a pris de faire confiance à cet individu que l’on connaît à peine ? Cela doit faire la troisième fois ou la quatrième fois qu’il vient avec nous et encore, avec une absence dès le deuxième dimanche, soit disant retenu ailleurs.
Libre à toi mais l’odeur dont tu étais imprégné nous a indisposés toute la matinée. Une infection la BM !
Pas facile de monter les rudes côtes d’Arbonne avec des crevettes avariées dans le nez.
Et ne parlons pas de ton odeur de vomi qui se superposait.

J’en ai encore des nausées. Pas facile avec ça de me concentrer sur la narration de notre parcours du jour.

Je résume.
Alors que nous étions quasiment tous d’accord pour une petite sortie rythmée mais pas trop dure, v’là t’y pas que notre néophyte (à peine trois ou quatre sorties au compteur) annonce qu’il se sent super et qu’il n’est pas venu pour faire une tournée de facteur.
Ma parole, il nous prend pour des tafioles ?
Ah ça, le Jean-Claude on ne lui parle pas comme ça !
Son sang ne fait qu’un tour, il enfourche rageusement son Lapierre et c’est parti ! Salope 2, Salope 1. Je ne m’attarde pas sur les détails des parcours de liaison avalés sur le grand plateau.
T’en veux encore ?
Allez hop, la carrière !
C’est bon on peut rentrer au parking ? Le chablis bien frais ça n’attend pas !
Retour par le chemin blanc et ses deux raidillons. Ca ne moufte plus jusqu’à l’explication finale que Laurent règle, comme d’habitude, à sa façon : lui devant et tous les autres derrière.
C’est lui qui invite alors on lui laisse prendre un peu d’avance pour mettre le couvert.
Quand la harde arrive en ordre dispersé, la nappe est déjà étalée et les verres de chablis bien frais sont servis.
Elle est pas belle la vie le Dimanche matin à Arbonne ?

PS : Président, personne n’a osé attaquer la bouteille de jus d’orange qui t’était réservée. Laurent te la garde au frais.